Voeux des fêtes !




Votre CDC préférée tient à vous souhaiter
le plus merveilleux des Noëls. Profitez de
cette période des fêtes pour vivre tout plein
de bonheurs en famille et avec des amis.

Au plaisir de se retrouver l'an prochain,
en 2013, tout de suite après la fin du monde... !

L'équipe de la CDC des Sources;

Un conte de Noël très...très moderne !

I l était une fois, encore plus au nord que le Plan nord, une horde de lutins s’activant dans les usines de jouets sous le regard attentif du Père Noël. Ce que peu de personnes savent, c’est que face au nombre croissant d’enfants sages, il y a eu durant le siècle dernier pénurie de lutins.

La Corporation du Pôle nord (CPN), l’employeur officiel de la fête de Noël, a donc été dans l’obligation d’engager des étudiantes et des étudiants. Ceux-ci ont bien sûr accepté car ils doivent travailler pour parvenir à payer leurs frais de scolarité et boucler leurs fins de mois. Cette année, la session s’étant quelque peu prolongée, les préparatifs pour Noël sont légèrement retardés.
Qui plus est, la Corporation attendait les résultats des élections provinciales pour déterminer la couleur des rubans sur les cadeaux. Serait-ce le bleu, le rouge ou le marbré?
Question d’être tendance bien sûr!
Cela s’ajoute au problème vécu depuis les dernières années pour la réception des lettres des enfants; dans quel pays se trouve le royaume du Père Noël?
Au Canada, en Russie, en Norvège, le Danemark…. tout le monde revendique le Pôle Nord et le Père Noël ne sait plus quelle adresse utiliser.
Tout cela parce que le Pôle nord risque, en raison du réchauffement climatique, de devenir sous peu un territoire libre de glace et d’ours polaire, facilitant l’accès aux merveilleuses richesses naturelles (pétrole) dont tous veulent être propriétaires.
Sans oublier tout le trafic engendré par la voie maritime du nord qui passera inévitablement à côté des ateliers où travaillent les lutins (diminuant leur qualité de vie au travail…)
Mais la plus grande peur du Père Noël, dans tout ça, est d’oublier un enfant sage! Par chance, le Père Noël peut aussi être rejoint sur Face-book ou par son site web tenu par le lutin webmestre!
Au moins, la Commission Charbonneau a interrompu ses audiences pour la période des fêtes, car, il faut le dire, le Père Noël a été fortement occupé durant la Commission à témoigner pour dénoncer les entrepreneurs et les ingénieurs, qui, enfants n’étaient pas très sages. Déjà, à ce tout jeune âge, ils avaient des dispositions pour les enveloppes brunes, le golf et les bouteilles de vin!
Mais finalement,
comme à tous les Noël, tous les enfants sages reçoivent le cadeau tant souhaité.
Tout finit bien…en fait presque, car, la famille Noël (il ne faut PAS oublier la Mère Noël)
vit un stress supplémentaire.

Puisque le Père Noël est un travailleur saisonnier (il ne travaille qu’un jour par année après tout), il doit comme à chaque année déposer sa demande de chômage.
Mais avec la loi dinosaure, humm non! La loi mammouth adoptée le printemps dernier, il est un prestataire très fréquent. Ainsi, les 6 premières semaines, il se voit dans l’obligation de rechercher un emploi semblable à 80% de son salaire.
Mais qui a besoin d’un Père Noël en janvier ou février? Il a bien pensé postuler pour le nouvel an chinois mais même à un demi million de Yuan (¥), cela fait beaucoup moins que 80% de son salaire. Il ne faut pas oublier qu’il a des rennes à nourrir. Liste des chômeurs

Ne trouvant pas d’emploi de Père Noël, il se voit contraint d’accepter un travail pour lequel il est qualifié…et comme il s’y connaît un peu en arbre de Noël, le Père Noël déniche un emploi comme planteur « de sapins de Noël » à 70% de son salaire. Cela fait quelques biscuits et chocolats chauds en moins!

Nous sommes en septembre 2013 et la plantation d’arbres se termine. Le Père Noël se retrouve de nouveau en chômage et doit, une fois de plus, trouver un autre emploi. Cette fois, toujours selon ses compétences, il est embauché pour la coupe d’arbres de Noël. Comme il lui faut préparer le prochain Noël, il donne ses deux semaines de préavis et retourne au Pôle Nord.
Vive les biscuits et le chocolat chaud en quantité!

Mais finalement,
comme à tous les Noël, tous les enfants sages reçoivent le cadeau tant souhaité.
Tout finit bien…en fait presque, car, la famille Noël (il ne faut JAMAIS oublier la Mère Noël)
vit un stress supplémentaire.

Janvier 2014.
Après les frénésies du temps des fêtes, le conseil d’administration de la CPN, doit de nouveau produire les relevés d’emploi du Père Noël et des lutins.
Quel stress pour eux car ils ne savent pas s’ils vont tous revenir une fois de plus au Noël suivant. La perte d’une expertise vieille de centaines d’années pourrait bien ébranler gravement le CPN.
Sans compter que depuis quelques temps des tas de curriculum vitae de tout le Canada de personnes plus ou moins intéressées, ayant plus ou moins la formation nécessaire se retrouve sur le bureau de Mère Noël, l’adjointe administrative de la corporation.

Au fait est-ce long et dispendieux pour la Corporation du Pôle Nord de former un Père Noël?
Quoique les lutins pourraient tout de même revenir car en tant qu’étudiants ils n’ont pas le droit au chômage! La Corporation pourrait peut-être les embaucher à l’été avec les emplois étudiants …l’atmosphère de Noël n’y est pas trop mais ça pourrait dépanner. Encore faudrait-il que le « programme Emploi été » soit toujours existant d’ici là.

Mais notre pauvre Père Noël n’a plus d’emploi, n’a plus droit au chômage car il a fait un départ volontaire, les centres d’achat n’ont plus besoin de ses services une fois Noël passé. Il pense à une réorientation professionnelle mais comme il fait partie de la génération pré-pré-pré boomer, le choix est difficile. Pourquoi pas maire, député, ou même attaché politique!
En attendant, après avoir confié ses rennes à la SPCA et vendu son habit à un kiosque touristique pour confectionner des carrés rouges en souvenir du printemps érable, il doit se résoudre à encaisser son chèque d’aide sociale et demander l’aide des organismes communautaires, du dépannage alimentaire et de la St-Vincent de Paul, qui sont tous déjà débordés.

Noël est en danger! Qu’arrivera-t-il après 2014?
Le royaume du Père Noël deviendra-t-il le prochain Val Jalbert?
Verrons-nous cette tradition disparaître?
Que feriez-vous pour sauver Noël?

Grincherty le ministre qui voulait détruire Noël
(Référence : la CDC des Deux-Rives)

Un sommet sur l'éducation supérieure : École d'hiver !




Dans ce bulletin mensuel du Forum jeunesse Estrie:
Un nouveau bulletin des tables jeunesse de l'Estrie;
« École d’hiver Spécial Sommet » : 15 jeunes estriens sont invités à faire partie d'une délégation;
Projet FRIJ : la nouvelle vidéo du Comité municipal jeunesse de Sherbrooke;

Toute l'équipe du Forum vous souhaite de passer un temps des Fêtes des plus mémorables!

Bonne lecture!



La Table est mise : le nouveau bulletin des tables jeunesse de l'Estrie
Le Forum jeunesse Estrie et l'Engagement jeunesse Estrie sont heureux d'annoncer la création de La Table est mise. Disponible dans la section Concertation du site Web du Forum, ce bulletin d'information vise à ce que les tables jeunesse puissent se faire connaître, créer des partenariats et s’inspirer des réalisations des autres tables. Pour la première année, l’accent sera mis sur chacune des organisations qui, à tour de rôle, auront leur propre numéro.

La Table jeunesse socio-économique de Memphrémagog est à l'honneur pour le tout premier bulletin, mis en ligne en novembre.

« École d’hiver Spécial Sommet » : 15 jeunes sont invités à faire partie d'une délégation
Le Sommet sur l’Enseignement supérieur aura lieu à la mi-février 2013 et vise à doter le gouvernement du Québec d’une vision collective de l’avenir des universités et des cégeps dans la société. En vue de ce Sommet, le Forum jeunesse Estrie est à la recherche de 15 personnes âgées de 18 à 35 ans pour constituer sa délégation à « l’École d’hiver Spécial Sommet », qui aura lieu du 25 au 27 janvier 2013 à l’Université Laval à Québec. L’École d’hiver constitue une occasion unique pour les jeunes de l’Estrie qui souhaitent mettre de l’avant leur point de vue quant à l’éducation et l’enseignement supérieur au Québec.

L’inscription à l’École d’hiver est gratuite et inclut deux dîners ainsi qu’un déjeuner. Toutefois, dans le but d’optimiser l’accessibilité à cette consultation, tous les forums jeunesse régionaux peuvent créer une délégation. Ainsi, en faisant partie de la délégation du Forum jeunesse Estrie, les jeunes se verront aussi rembourser les coûts liés au transport et à l’hébergement! Pour tous les détails, consultez le site Web du Forum (il est également possible de nous transmettre un avis).

Six projets novateurs se partagent plus de 125 000 $ par le biais du FRIJ
Le Forum jeunesse Estrie est fier d’allouer la somme de 126 984 $ à six projets qui visent à contribuer au milieu de vie des jeunes de l’Estrie. C’est par le biais du onzième appel du Fonds régional d’investissement jeunesse que ces initiatives recevront du financement.

« D’un appel à l’autre, il est toujours aussi impressionnant de voir à quel point les organisations estriennes proposent des mesures novatrices. Tous ces organismes ont le même objectif, soit celui d’améliorer les conditions de vie des 12-35 ans. Au nom du Forum jeunesse Estrie, je tiens à féliciter l’ensemble des promoteurs qui ont déposé un projet dans le cadre de ce onzième appel », mentionne M. Alexandre Blanchette, président de l’organisation.

Voici les six projets financés :

Camp des métiers – soutien financier du FRIJ de 34 924 $
Promoteur : Carrefour jeunesse-emploi du comté de Richmond
Territoire couvert : MRC des Sources

Capsules vidéo sur la transition École-Vie adulte pour les jeunes handicapés – soutien financier du FRIJ de 3200 $
Promoteur : Han-Droits
Territoire couvert : Estrie

Échangeons nos traditions – soutien financier du FRIJ de 12 675 $
Promoteur : Saint-Isidore-de-Clifton en action
Territoire couvert : MRC du Haut-Saint-François et Ville de Sherbrooke

Promouvoir l’accès des filles et des jeunes femmes au pouvoir – soutien financier du FRIJ de 10 000 $
Promoteur : Promotion des Estriennes pour initier une nouvelle équité sociale
Territoire couvert : Estrie

Un web-répertoire de films émergents – soutien financier du FRIJ de 31 185 $
Promoteur : Course Estrie
Territoire couvert : Estrie

Vie-vas-cité – soutien financier du FRIJ de 35 000 $
Promoteur : Office municipal d’habitation de Sherbrooke
Territoire couvert : Ville de Sherbrooke

Les promoteurs et organismes jeunesse de l’Estrie ont jusqu’au 25 mars 2013 à 16 h 30 afin de soumettre leurs projets au douzième appel à projets du FRIJ. Toute initiative doit être présentée par un organisme à but non lucratif, une municipalité, une MRC, un organisme public ou un jeune promoteur parrainé. Pour plus d’information, la politique d’investissement peut être consultée au www.forumjeunesseestrie.qc.ca, sous l’onglet « projet structurant local », de la section FRIJ. Les promoteurs qui participeront au douzième appel recevront une réponse au cours du mois de juin 2013. Pour plus de détails sur les projets financés, consultez le communiqué de presse émis le 5 décembre 2012.



Régénérations - Propositions citoyennes pour un Québec intergénérationnel | Par la parution de ce livre, l'Institut du Nouveau Monde reprend la démarche des Rendez-vous des générations auxquels 4000 citoyennes et citoyens ont participé. L'ouvrage veut mener la réflexion plus loin quant aux conditions du « vivre et vieillir ensemble ». Consultez la boutique virtuelle de l'INM pour accéder à leurs publications.

Ma place en politique - Un nouveau visage pour Femmes et politique municipale de l'Estrie | Le 6 novembre dernier a eu lieu, à l'hôtel de ville de Sherbrooke, le lancement de Ma place en politique. À un an des élections municipales, l'organisation veut encourager les femmes et les jeunes à se présenter en politique. Rendez-vous sur leur tout nouveau site Web pour en apprendre davantage quant aux activités proposées.

Le Rendez-vous des voix et des musiques a besoin d’organismes pour des ateliers-rencontres | Le Rendez-vous des voix et des musiques de l’Estrie est un projet artistique et citoyen estrien créé par le Théâtre des Petites Lanternes (TPL) et réalisé en partenariat avec l’École de musique de l’Université de Sherbrooke. Le projet vise à créer un espace de dialogue pour des jeunes francophones, anglophones et abénakis âgés de 15 à 25 ans de même qu’une pièce de théâtre à partir de leur parole. Consultez le document d’information pour plus de détails.

Vidéo du comité municipal de Sherbrooke | En 2011, le projet Je prends le pouvoir, mis en place par le Carrefour de solidarité internationale, a reçu du financement dans le cadre du huitième appel à projets du Fonds régional d'investissement jeunesse. Le Forum jeunesse Estrie s'est ainsi associé au Comité municipal jeunesse de la ville de Sherbrooke. Vous pouvez maintenant visionner la vidéo produite lors de la séance d'avril 2012.



Occupe-toi de tes affaires! | L’Autorité des marchés financiers propose aux jeunes âgés de 17 à 22 ans un site pour les accompagner dans la réalisation de leurs projets qui nécessitent une planification financière. Acquérir une automobile, partir en appartement, payer ses études ou obtenir une carte de crédit : sur le site TesAffaires.com, ils trouveront de l’information utile pour mener à bien leurs projets.

Électeurs municipaux en herbe et Relève municipale 2.0 | Afin d’informer et de sensibiliser les jeunes à la politique en prévision des élections municipales, la Commission des jeunes élues et élus de l'Union des municipalités du Québec a mis en ligne des capsules vidéo dans le cadre des projets Électeurs municipaux en herbe et Relève 2.0. Découvrez le parcours de jeunes élus passionnés de politique en vous rendant sur le site Web de l'UMQ.

La mode « bi » : ouverture d’esprit ou banalisation? | Le magazine Ça s'exprime s'adresse aux intervenants menant des activités d'éducation à la sexualité auprès des jeunes du secondaire. L'édition d'automne 2012 tente de démystifier la bisexualité, particulièrement à l'adolescence. Elle peut être téléchargée sur le site www.casexprime.gouv.qc.ca.

Pour Noël cette année !

Vous aimeriez être un Père Noël ?
Créer la magie de Noël en achetant un cadeau à un enfant défavorisé de la MRC des Sources

POUR ILLUMINER LE NOËL D’UN ENFANT
L’opération Père Noël permet aux enfants de milieux défavorisés d’obtenir un cadeau pour Noël.  Les enfants dont s’occupe l’opération Père Noël sont en grand besoin. Sans la générosité des Pères Noël, ils ne recevraient pas de cadeaux à Noël et encore moins l’objet qu’ils désirent tant….
COMMENT CA MARCHE
En acceptant de devenir un père Noël, vous recevrez une lettre qu’un enfant a adressée au Père Noël dans laquelle il exprime ce qu’il aimerait recevoir comme cadeaux.  Vous recevrez cette lettre au plus tard le 5 décembre.
Comme père Noël, vous acceptez d’acheter l’un des cadeaux mentionnés dans la lettre, pour un coût variant entre 25 $ et 50 $.  Vous emballez le cadeau et joignez une carte adressée à l’enfant et signée «du Père Noël ».  Le cadeau doit rester anonyme. Vous aurez jusqu’au 17 décembre pour acheminer votre cadeau au lutin, lequel se chargera d’acheminer le cadeau à l’enfant dans la nuit ou la journée de Noël.
   
LE LUTIN DE LA MRC DES SOURCES         
Sur notre territoire, le lutin désigné est Stéphanie Jetté du Centre Jeunesse
Estrie.  Pour vous inscrire comme  
Père Noël, avant le 3 décembre:
819-879-5484, poste 54104

Une rencontre des membres fort intéressante

Lors de la rencontre des membres de la CDC de vendredi 26 octobre 2012, plusieurs dossiers intéressants ont été abordés et deux visites importantes ont permis aux organismes présents d’approfondir leurs liens et leurs connaissances sur les différents points traités. Pour l’occasion, les membres du CACP étaient invités à participer.
D’abord, dès l’ouverture de la rencontre nous avons eu le plaisir de rencontrer notre nouvelle députée du comté de Richmond, madame Karine Vallières. Un tour de table très intéressant a permis à chacun des membres de présenter son organisme ainsi que les principaux dossiers sur lesquels ils travaillent actuellement. En tant que Porte-parole de l'opposition officielle en matière de lutte à la pauvreté, madame Vallières s’est montrée des plus intéressées particulièrement à propos des éléments pouvant toucher les services aux personnes en situation de pauvreté et d’exclusion sociale sur notre territoire. Le Collectif d’action contre la pauvreté (CACP) aura donc une écoute toute particulière de la part de notre députée.
Par la suite Alain Roy, coordonnateur de la CDC, nous a fait une présentation de la démarche de réalisation de l’Agenda 21 local sur le territoire de la MRC et des étapes à venir au cours des prochains mois. Notamment, des actions concrètes sur un élargissement de la participation citoyenne au plan d’action à proprement parlé. Les élus seront également alimentés davantage concernant la démarche à venir et seront invités à valider les principaux éléments qui auront reçus l’aval du comité d’orientation de la MRC.
Par ailleurs, le Collectif d’action contre la pauvreté possède maintenant son compte Facebook. Le Club de placement offre aux membres de la CDC des services de coatching pouvant toucher des aspects tels que le recrutement de la main-d’œuvre, la gestion du personnel, l’organisation interne, etc. Le tout à des coûts très réduits. Nous avons également abordé le dossier des formations où l’on constate une problématique au niveau de la fréquentation. Les organismes sont toujours intéressés aux différentes formations offertes sur le territoire mais ont de moins en moins de temps pour y participer. Une réflexion en profondeur serait certainement pertinente à faire avec des membres et des partenaires (ex. : CSSS, CLE, etc.) dans une optique de concertation dans l’offre générale de formation.

Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté (17 octobre)

À l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la pauvreté (17 octobre), le Collectif d’action contre la pauvreté (CACP) de la MRC des Sources lance un questionnaire-réflexion de sensibilisation à la pauvreté. Les circonstances de la vie peuvent malheureusement conduire bien des personnes vers la pauvreté. Si vous perdiez votre emploi ? Deveniez malade ? Perdiez votre conjoint ? Auriez-vous encore suffisamment d’argent pour répondre à vos besoins ? Êtes-vous à l’abri de la pauvreté? Notre petit questionnaire pourrait vous faire réfléchir.
 
Nous vous encourageons aussi à le transférer à vos collègues, familles et amis. Nous vous suggérons aussi de le partager lors de vos activités et de le présenter aux membres de vos CA.
  
Le CACP regroupe une vingtaine d’organismes et organisations de la MRC des Sources, issus des milieux communautaires, associatifs et gouvernementaux. Le CACP a été formé dans le but de trouver des solutions pour les personnes vivant la pauvreté sous toutes ses formes.
Pour informations, vous pouvez rejoindre le CACP au 819-879-6646, poste 238.
 
QUESTIONNAIRE

Nouveaux ministres vs Groupes communautaires

L’élection du Parti Québécois et de sa chef Pauline Marois, à la tête du gouvernement du Québec annonce le changement.  Déjà la campagne électorale avait permis la présentation de nombreuses promesses ayant des impacts à court terme sur certains dossiers, dont celui de Mine Jeffrey à Asbestos. Avec la nomination des ministres et des ministères qu’ils et elles représenteront, nous sommes maintenant assuré que beaucoup de travail les attend. Un gouvernement minoritaire est toujours surveillé de près et il semble que les partis de l’opposition et les journalistes ne laisseront pas beaucoup de chances à celui-ci.
Ce nouveau conseil des ministres oblige de prendre un peu de temps pour se retrouver.  De nouveaux ministères ont été créés et certains d’entre eux, regroupant des responsabilités multiples, sont surprenants.  Nous tenterons, ici, de tracer un portrait des principaux ministères en lien avec les mandats des groupes communautaires.
D’abord, la première Ministre, madame Marois, députée de Charlevoix-Côte-de-Beaupré, sera aussi responsable de la Jeunesse et recevra l’appui de Léo Bureau-Blouin, le plus jeune député à être élu à l’Assemblée Nationale du Québec.  Pas de doute que Mme Marois aura besoin d’appuis au cours des prochains mois.
Mme Agnès Maltais, députée de Taschereau, est maintenant ministre de l’emploi, du travail et de la solidarité sociale.  Ce ministère est responsable du Plan d’Action Gouvernemental pour la Solidarité et l’Inclusion Sociale (PAGSIS) et du Secrétariat de l’Action Communautaire Autonome et des Initiatives Sociales (SACAIS) duquel arrive le financement des CDC et de nombreux groupes de défense de droits.  Bienvenue Mme Maltais.
Monsieur Réjean Hébert, député de St-François, sera le nouveau ministre de la santé et des services sociaux et aussi, responsable de la région de l’Estrie.  À noter qu’il sera seul pour accomplir cette tâche puisqu’il n’y a pas de responsable des services sociaux, comme dans le gouvernement précédent.
Monsieur Sylvain Gaudreault, député de Jonquière, aura la très lourde responsabilité de piloter deux ministères soit celui du transport et celui des affaires municipales, des régions et de l’occupation du territoire. Deux responsabilités importantes, habituellement sous la responsabilité de ministres distincts.  À noter que Monsieur Gaétan Lelièvre, député de Gaspé sera ministre délégué aux régions. Quelques ajustements sont à prévoir pour bien définir le rôle de chacun.
Monsieur Daniel Breton, député de Sainte-Marie-Saint-Jacques, sera le ministre du développement durable, de l’environnement, de la faune et des parcs.  Un ministère important considérant que la MRC est en démarche d’Agenda 21 local et considérant le projet important de parc régional du Mont Ham qui chemine toujours.
Bien entendu, tous les ministères sont importants et tous les ministres ont une influence importante au sein du gouvernement.  Un ministère important et stratégique, celui des finances et de l’économie, piloté par Monsieur Nicolas Marceau, député de Rousseau, aura un impact important sur de nombreuses décisions.  Les prochains mois seront cruciaux si ce gouvernement souhaite avoir le temps de prendre son envol, avant que l’opposition lui impose une campagne électorale….
Collaboration d'Alain Roy, coordonnateur

Que nous disent nos candidats dans Richmond

La CDC des Sources a posé 5 questions aux principaux candidats. Voici leurs réponses :

Question 1- Politique gouvernementale sur l’action communautaire : Qu’est-ce que vous comptez faire pour soutenir l’action communautaire autonome, les services de première ligne, les organismes voués à la défense des droits et surtout que comptez-vous faire pour soutenir la lutte contre la pauvreté sur notre territoire?

Pour lutter contre la pauvreté, je ferai de l’action communautaire une priorité si je suis élue le 4 septembre prochain. Avec mon équipe, je m’engage à rencontrer dès le début de mon mandat les représentants des différents organismes qui contribuent à défendre les citoyens et à offrir des services indispensables à la population. Je suis une personne efficace, qui privilégie les actions concrètes ayant un réel effet sur les difficultés.

Certes, l’État doit jouer un rôle majeur dans l’atteinte d’une plus grande justice sociale par une meilleure répartition de la richesse. À l’échelle du comté, la députée et son bureau doivent s’impliquer sur le terrain. Mais, nous devons le faire en consultation et en concertation avec les intéressés, notamment les organismes qui aident quotidiennement les groupes aux prises avec différentes réalités, que ce soit en matière d’éducation, de services de santé, de services sociaux, de centres de petite enfance, de soutien de dernier recours, etc.

C’est dans un esprit de recherche de solutions constructives et participatives que je veux accroître le soutien aux organismes de prise en charge personnelle et collective. Je suis consciente que ces organismes ont besoin d’un plancher de financement selon leurs missions respectives, non seulement au moment de leur naissance, mais aussi durant leurs phases de consolidation et de développement. Marie-Soleil Perron, la CAQ.

                                              ******************************

Cette question est « immense » et je vais tenter  d’en faire le tour. On ne peut se conter d’histoires : la pauvreté a des conséquences néfastes sur les communautés et ses individus, elle a un coût important mais elle rapporte par contre aux milieux financiers (pensons aux cartes de crédit qui ramassent des taux d’intérêts exorbitants, aux banques et caisses populaires qui collectent des frais financiers reliés aux transactions financières car ces gens n’ont pas de fonds dans leurs comptes). La pauvreté est à la base de nombreuses problématiques que l’on tente de solutionner par des « remèdes curatifs » ou des programmes « de ciblage » sans aller à la source. Les personnes les plus défavorisées ont plus de problèmes de santé, connaissent un taux de décrochage plus important, vivent dans un environnement plus malsain (logements inadéquats par exemple) et ont accès à des emplois les moins rémunérés. Québec solidaire propose dans un premier temps un revenu minimum garanti de 12 000$. Deuxièmement, une éducation gratuite de la maternelle à l’université qui donne une chance à tous de se scolariser peu importe les revenus de ses parents. Dès le primaire, les coûts associés à la rentrée (matériel, vêtements, frais de surveillance le midi) et aux activités culturelles et sportives sont un réel casse-tête pour les familles à faibles revenus ce qui amène des relations tendues entre la famille et l’école alors qu’un lien positif aide à la poursuite des études. Des études complétées permettent l’accès à des emplois plus intéressants et mieux rémunérés. Troisièmement, la construction de logements sociaux ou la transformation de maisons en logements sociaux créerait des emplois et permettrait aux gens de s’abriter à des coûts raisonnables dans des milieux plus sains. Pour assurer des retraites plus dignes, Québec solidaire propose de transformer la RRQ actuelle en un régime universel de retraite dont les prestations seraient à la hauteur de 60 % du salaire. J’ajouterai qu’il faut contrer la délocalisation des emplois en liant ceux-ci aux subventions de toutes sortes que l’État verse aux entreprises à l’intérieur d’un nouveau contrat social. 
Les services de première sont sous-financés ainsi que tout ce qui a trait à la prévention (air et eau à protéger davantage, accès à une alimentation plus saine par le biais de produits alimentaires locaux écologiques). Les organismes communautaires doivent être mieux financés afin de garantir leur autonomie et afin d’éviter que les gens qui y travaillent passent une trop grande partie de leur temps à courir le financement ce qui crée insécurité et stress inutile alors que le temps consacré à la paperasse ne l’est pas à intervenir sur le terrain. Leur salaire doit être relevé de façon importante évidemment, preuve que la société québécoise reconnaît la valeur de leur travail. Colombe Landry, QS.

                                                **************************

D'entrée de jeu, je souhaite présenter les grandes orientations du Parti Québécois en matière de développement communautaire. En aucun temps, je n'attaquerai les politiques de mes adversaires. Je privilégie un débat positif axé sur les idées, à l'instar de ma campagne électorale. Les propositions apportées par le Parti Québécois sont réalistes et la MRC des Sources, qui se démarque déjà en matière de coopératives et d'économie sociale, saura bénéficier de ces engagements. En tant que député de la circonscription de Richmond, je serai à l'écoute de vos préoccupations et je travaillerai en étroite collaboration avec les intervenants du milieu pour le cheminement de leurs projets.
Nous pouvons compter sur des organismes communautaires et des coopératives actives dans tous les domaines. Il faut aujourd’hui les rendre plus efficaces, plus souples, plus humains et mieux adaptés à la réalité des Québécois. Il faut assurer la justice économique et défendre vigoureusement les Québécois les moins fortunés de notre société et assurer une intégration harmonieuse à tous les nouveaux Québécois.
 Pour les organismes de défense des droits, nous nous engageons  à revoir les régimes d’aide et d’indemnisation des victimes d’actes criminels afin de mieux soutenir les victimes et leur famille. Pour ce faire, nous élargirons la liste des actes criminels couverts, nous laisserons plus de temps aux victimes pour déposer une réclamation et nous simplifierons les procédures.
 Le Parti Québécois s’engage aussi à élargir l’admissibilité à l’aide juridique gratuite, notamment afin que les personnes travaillant à temps plein au salaire minimum soient dorénavant admissibles. Nous investirons 16 millions de dollars par année pour étendre ce programme à quelque 450 000 personnes supplémentaires et nous maintiendrons le soutien offert à ces groupes communautaires.
 J'ai rencontré des organismes de défense des droits au printemps dernier. Le sous-financement chronique de même que le nombre important d'heures consacrées à la recherche de subventions sont la réalité de ces organismes. En tant que député, je souhaite soulever cette réalité auprès de mes collègues du Parti Québécois.
 Quant à la lutte à la pauvreté, de nombreuses mesures du Parti Québécois contribueront à la réduction des inéquités sociales, dont l'abolition de la taxe santé de 400 $ par famille par année, l'annulation de la hausse des frais de scolarité, l'adoption de deux nouveaux paliers d'imposition et l'implantation de la maternelle pour les 4 ans dans les milieux défavorisés.
Étienne-Alexis Boucher du PQ.

                                             **********************

Dans un premier temps, permettez-moi de vous informer que notre gouvernement a posé les gestes suivants :

crédit d’impôt à la solidarité pour protéger les plus démunis;
gratuité des médicaments à tous les prestataires d'une aide financière de dernier recours;
rétablissement des allocations familiales qui avaient été coupées par le PQ; lancement du plan d'action gouvernemental pour la solidarité et l'inclusion sociale (6 juin 2012) 7 G$ pour 2010-2015.

Pour ma part, je crois profondément à l'action communautaire autonome sur le territoire de notre MRC pour répondre aux besoins de la population. En ce sens, je puis vous assurer que toutes les mesures nécessaires pour accompagner les organismes voués à la protection des plus démunis d'entre nous. Karine Vallières du PLQ.

                                                     **************************************

Question 2- Économie sociale : Qu’est-ce que vous et votre parti prévoyez faire concrètement pour soutenir financièrement les entreprises d’économie sociale (OBNL, coopératives, etc.) de la MRC des Sources?

Réponse d'Étienne Alexis Boucher du PQ :
L'économie sociale dans la MRC des Sources est vitale et doit être l'un des leviers pour la diversification économique de la région. Avec 28 entreprises qui emploient 520 personnes, l'économie sociale génère des revenus de 62,2 M $.

La volonté du Parti Québécois d'adopter une loi-cadre pour reconnaitre la contribution positive du secteur de l’économie sociale au développement économique et social du Québec bénéficierai grandement à la région.

De plus, la mise en place d'un nouveau programme d’aide à la relève entrepreneuriale, notamment pour les producteurs agricoles et les pêcheurs, en encourageant toutes les formes d’entreprises, incluant l’entrepreneuriat féminin, les coopératives et les entreprises d’économie sociale permettrait d'encourager les jeunes à ce diriger vers ce type d'entreprise et faciliterait le transfert des entreprise aux nouveaux entrepreneurs.

Personnellement, je crois en ce type d'entreprise pour traverser les périodes d'instabilité économique que nous vivons depuis quelques années.

                                                ***************************

Réponse de Colombe Landry de QS :
Financement à partir de la Caisse de dépôt pour le « chantier social de construction de logements sociaux » au lieu du 5MM$ investi dans les sables bitumineux de l’Alberta; augmentation des paliers d’imposition, resserrement de la fiscalité chez les grandes entreprises et augmentation de l’imposition des milieux financiers afin qu’ils fassent enfin leur juste part.

Voir le cadre budgétaire de Québec solidaire :

http://www.quebecsolidaire.net/wp-content/uploads/2012/08/Cadre_budgetaire.pdf


                                                ************************

Réponse de Marie-Soleil Perron de la CAQ :
En plus d’une économie de propriétaires publics (par exemple Hydro-Québec) et privés (surtout sous la forme de PME), force est de reconnaître qu’une grande partie de la richesse à venir proviendra de la croissance de ces associations, coopératives et organismes communautaires. En plus de répondre aux besoins de leurs membres, ces propriétés collectives forment un rempart contre la prise de contrôle par des intérêts étrangers.

Une puissance certaine appartient à ceux et celles qui, à la base, mettent l’épaule à la roue. L’intervention gouvernementale reposera donc sur une politique d’encouragement aux régions à se prendre en main collectivement et en interdépendance.
Pour moi, il s’agit de stimuler les initiatives autodéterminées en prenant les communautés et les MRC comme cadre de relance. Un exemple concret est la reprise d’entreprises en transition de propriétaires.

Cette approche « entre-aidante » s’inscrit dans un courant à la fois québécois et international. La preuve en est que l’Organisation des Nations Unies a proclamé 2012 Année internationale des coopératives.

Avec mon équipe, je vais rencontrer les dirigeantes et dirigeants des entreprises d’économie sociale afin de bien comprendre leurs besoins et de pouvoir y répondre selon les moyens dont je disposerai.

Vous savez qu’un gouvernement de la Coalition Avenir Québec développera une « économie de propriétaires ». Eh bien, je suis persuadé qu’une économie de propriétaires, c’est aussi une économie de propriétaires collectifs.

                                             ****************************

Réponse de Karine Vallières du PLQ :
Un gouvernement du Parti libéral s'engage à ajouter la réalisation de 10 heures d'engagement communautaire bénévole au sein du cours Monde contemporain pour les élèves de 5e secondaire.  Cette mesure vise à sensibiliser les élèves à l'importance de l'implication sociale et communautaire;

Il y a également le programme de Soutien à l'action bénévole (SAB) qui est mis à la disposition des députés pour soutenir les organismes à but non lucratif. Étant très sensible à la mission de ces organismes, je me ferai un devoir de les aider et de les supporter financièrement dans la mesure du budget qui sera mis à ma disposition.


                                         **********************************

Question 3- Développement local : Afin de maintenir et développer nos communautés locales, qu’est-ce que vous prévoyez faire notamment au niveau des services de proximité et de l’achat local?

Réponse de Marie-Soleil Perron de la CAQ :
Je crois qu’en matière d’occupation du territoire, des coopératives de proximité, par exemple, peuvent constituer un dernier recours contre la dévitalisation de certains villages. Selon moi, des crédits d’impôt seraient un moyen à envisager pour encourager les membres à souscrire des parts privilégiées pour consolider ce genre d’entreprises qui offrent des services essentiels au maintien d’une communauté.

Dans une perspective plus large, un gouvernement de la Coalition Avenir Québec fournira aux régions les ressources et le soutien nécessaires pour prendre leur envol. Notre région aura donc une plus grande autonomie pour développer le potentiel de son territoire, grâce à nos initiatives porteuses d’avenir. N’importe-t-il pas en effet de diversifier notre activité économique pour plus de stabilité et de résilience?

La façon d’y arriver est d’investir les centres locaux de développement (CLD) de véritables moyens et d’une obligation de résultats. Les CLD deviendront les guichets uniques des entrepreneurs, en étroite collaboration avec Investissement Québec, qui sera doté de 2 milliards de dollars par année pour épauler les projets d’investissement des entreprises.

En outre, la Coalition Avenir Québec fera la promotion des produits alimentaires québécois afin d’augmenter significativement l’achat local. Au Québec, les normes de salubrité, de traçabilité et d’étiquetage sont très strictes. Toutefois, nous devons importer un grand nombre de produits, qui sont ensuite vendus à prix plus bas que nos produits locaux parce que les exigences de qualité diffèrent là d’où ils proviennent. En prenant les mesures qui s’imposent, les producteurs agricoles d’ici pourront bénéficier des avantages d’un marché où tous jouent à armes égales.
Un gouvernement de la Coalition s’assurera donc que les produits agroalimentaires importés répondent aux mêmes exigences que ceux d’ici.

L’industrie de la transformation alimentaire est aussi un maillon essentiel de la croissance économique. Mais les PME peinent à mettre leurs produits sur les tablettes à cause de la grande taille des joueurs de la distribution alimentaire. Il sera important d’implanter les recommandations du rapport Pronovost et d’établir une stratégie afin d’accélérer les investissements des entreprises dans ce domaine.

                                        ************************************

Réponse de Étienne-Alexis Boucher du PQ :
Un gouvernement du Parti Québécois adoptera une politique de souveraineté alimentaire, en s’appuyant sur nos agriculteurs et nos pêcheurs, afin de faire passer de 33% à 50% la consommation de produits québécois de qualité et à prix compétitif. Si chaque consommateur québécois achetait 30 dollars de plus d’aliments de chez nous chaque année, c’est un milliard de dollars qui serait investi dans notre économie au cours des cinq prochaines années.

Parmi les actions concrètes pour atteindre cette objectif, il est nécessaire de miser sur les circuits courts grâce aux marchés publics et à des organismes de distribution de produits locaux destinés à l'hôtellerie, la restauration et les institutions (HRI). Personnellement, je m'engage à travailler de concert avec Saveurs des Cantons afin que les agriculteurs de la MRC des Sources puissent bénéficier des services de cet  organisme. Lors de mon précédent mandat à titre de député de Johnson, j'ai réalisé mon engagement d'étendre les services de Saveurs des Cantons aux MRC du Val-Saint-François et d'Acton.

Une politique d'achat du gouvernement doit également être mise en place afin que les institutions gouvernementales montrent l'exemple en s'approvisionnant, en premier lieu, auprès de fournisseurs locaux.

Le développement des communautés locales doit également passer par la bonification de loi sur l’occupation du territoire et la décentralisation afin que les services publics soient gérés le plus près possible des citoyens.

C'est pourquoi la Politique nationale de ruralité sera reconduite et le Pacte rural bonifié. L'organisme Solidarité rurale du Québec a d'ailleurs souligné que le Parti Québécois était le seul parti avec une véritable politique nationale de ruralité.

http://www.conferencedestables.org/news/infolettre-elections-2012-o%C3%B9-est-la-politique-nationale-de-la-ruralite

                                                              *********************************

Réponse de Colombe Landry de QS :
Que les organismes publics et parapublics (CSSS des Sources c’est-à-dire : CLSC, Centre d’hébergement de soins de longue durée et centre hospitalier + la  commission scolaire des Sommets) développent une politique d’achats plus locale : je pense aux achats de produits alimentaires mais également au matériel de bureau et pourquoi pas certains équipements mobiliers. Les politiques d’achats regroupés développées au fil des ans nuisent à l’achat local et favorisent les plus grosses entreprises, qui finalement, sont peu nombreuses et entre lesquelles il n’y a peut-être pas de véritable concurrence. Soutenir des lieux de distribution (marchés publics par exemple) ou défendre une place plus importante dans les marchés d’alimentation pour les produits agricoles locaux; une belles façon d’encourager l’agriculture de proximité. Favoriser par un financement adéquat les visites culturelles et sportives par les élèves dans la région (Mont Ham, lieux d’expositions et de spectacles à Danville, St-Camille et Asbestos par exemple).


                                           *********************************

Réponse de Karine Vallières du PLQ :
Notre gouvernement a porté une attention toute particulière à Aliments Québec qui vient simplifier le geste d'achat en fournissant aux consommateurs deux repères incontournables :  les logos « Aliments Québec » et « Aliments préparés au Québec ».

Il a de plus mis en place des mesures pour encourager nos entreprises à inscrire leurs produits à Aliments du Québec et inciter les grandes chaînes, les hôteliers et les restaurateurs à poursuivre leurs efforts pour mettre en valeur les aliments préparés au Québec

Le contact direct que nous avons avec le producteur ou le transformateur est une expérience de plus en plus populaire auprès des consommateurs québécois. 

C'est pourquoi un gouvernement du Parti libéral du Québec investira 15 M $ sur 5 ans d'argent neuf aux initiatives de mise en valeur de ces potentiels agroalimentaires appelés circuit courts. 

De plus, afin de s'assurer de consolider l'expertise développée par l'Association des marchés publics du Québec, un financement annuel récurrent sera aussi prévu à même cette enveloppe.  Celle-ci a pour mission de soutenir l'émergence, le développement et la promotion du réseau des marchés publics québécois au profit des communautés locales ainsi que des producteurs et artisans du secteur agroalimentaire québécois.

Je tiens à réitérer mon engagement à l'égard des producteurs de mon comté et cet engagement passe aussi par les consommateurs de chez nous à s'approvisionner auprès de nos fournisseurs locaux. Je crois fermement à l'achat local.

                                        *************************************

Question 4- Santé et éducation : Côté santé, quelle est votre position dans le dossier d’une éventuelle fusion des CSSS des Sources et du Haut-St-François ? Côté éducation, quelle est votre position sur la problématique du décrochage scolaire dans notre comté ?

Réponse d'Étienne-Alexis Boucher du PQ :
Santé
Dans le domaine de la santé, il faut rétablir un véritable système public de santé qui soit universel, accessible et performant et s’assurer d’offrir des services de qualité à la population.

Dans un premier temps, une gouvernement du Parti Québécois abolira la taxe santé de 400 dollars par famille et introduira deux nouveaux paliers d’imposition pour les salariés gagnant plus de 130 000 dollars et plus de 250 000 dollars pour défrayer les coûts de cette mesure.

Le Parti Québécois priorisera les soins et les services à domicile en s’appuyant notamment sur les entreprises d’économie sociale afin que nos aînés, les personnes vulnérables et les personnes handicapées puissent vivre plus longtemps chez eux.

Il est primordial d'adopter une véritable politique de soins à domicile et de mettre en place une assurance autonomie afin d’augmenter et d’améliorer les soins et services aux aînés en perte d’autonomie et de simplifier l’accès au financement de ces soins et services.

Devant la charge de travail que représente les soins pour les proches aidants, il est important de les soulager par une reconnaissance de leur travail et en offrant des mesures de soutien et de répit.
Quant aux problème chroniques de santé mentale, il faut renforcer les initiatives de suivi dans le milieu auprès de ces personnes afin de favoriser leur intégration sociale et économique et de diminuer le risque de nouvelles hospitalisations et d’itinérance.

Éducation
La réussite et la persévérance scolaires sont au premier plan de nos engagements pour favoriser l’épanouissement des jeunes Québécoises et Québécois. Pour ce faire, il faut agir auprès de nos jeunes dès la petite enfance et assurer une coordination avec le passage du CPE à l’école primaire pour bien accompagner tous les enfants qui ont des difficultés. Un gouvernement du Parti Québécois s'engage à :

Encourager fortement la mobilisation de tous les secteurs de la société dans la lutte au décrochage scolaire et offrir à tout jeune déscolarisé de 16 à 18 ans une solution de formation ou d’apprentissage.

Augmenter le nombre de professionnels et d’employés de soutien dans les écoles afin de répondre aux élèves ayant des besoins particuliers ou en difficulté, tant dans les classes qu’au service de garde scolaire.

Lancer un vaste chantier d’alphabétisation, incluant l’analphabétisme numérique, afin de réduire de façon significative l’analphabétisme d’ici 2020.

Quant aux études post-secondair, un gouvernement du Parti Québécois annulera la hausse des droits de scolarité jusqu’à la tenue du sommet sur l’enseignement supérieur et l’adoption d’une loi-cadre qui régira les droits de scolarité et les autres frais afférents, qui préservera l’accessibilité économique et l’accessibilité régionale, qui respectera la capacité de payer des étudiants et qui visera à diminuer l’endettement étudiant. Ce sommet sur l’enseignement supérieur portera sur la qualité de l’enseignement, la gestion des universités, l’adéquation entre la formation et les besoins de l’économie, la formation générale de qualité ainsi que le financement du réseau des universités québécoises et se tiendra avec la communauté universitaire, les employeurs et la société civile.

Il est également important d'adapter le programme d’aide financière aux études afin de préserver l’accessibilité des étudiants de tous les milieux socioéconomiques à l’enseignement supérieur; abolir la prise en compte du revenu de pension pour enfant des familles monoparentales dans le calcul de la contribution financière; ajuster le seuil de contribution parentale et les frais de subsistance.

Finalement, il faut proposer différents modes de remboursement des dettes d’études de façon à assurer l’accès à l’éducation et à limiter ou à atténuer l’endettement des étudiants.

                                                     *************************

Réponse de Marie-Soleil Perron de la CAQ :
Côté santé, quelle est votre position dans le dossier d’une éventuelle fusion des CSSS des Sources et du Haut-St-François?

Actuellement, je ne suis pas en mesure de répondre à cette question, faute d’information suffisante. Une fois élue, je serai disponible pour prendre connaissance des arguments pour et contre ce projet de fusion. Je tiens à ce que les citoyens sachent que ma démarche dans ce dossier sera celle que j’utilise pour toute prise de position, soit une démarche sérieuse et rigoureuse. Je m’engage donc auprès de la population des Sources et du Haut-Saint-François à effectuer les consultations et analyses nécessaires pour avoir l’heure juste.

Côté éducation, quelle est votre position sur la problématique du décrochage scolaire dans notre comté?

Je suis très sensible au décrochage scolaire et ce problème fait partie de mes priorités. D’ailleurs, j’ai été très impliquée dans l’école de mes fils. Heureusement, la Coalition Avenir Québec a résolu d’augmenter sensiblement le taux de réussite. Je pense qu’il faut donner plus d’autonomie aux écoles. Celles-ci sont les mieux placées pour comprendre les besoins particuliers de leur clientèle et y répondre de la manière la plus appropriée et la plus efficace. Naturellement, les ressources financières devront suivre les nouvelles responsabilités. Vous trouverez aussi plusieurs actions concrètes dans la plateforme de la Coalition Avenir Québec.

Un gouvernement de la Coalition Avenir Québec fera de l’éducation la clé du développement du Québec [voir les pages 31 à 44 de la plateforme à http://coalitionavenirquebec.org/wp-content/uploads/2012/07/Plateforme-20124.pdf]. En vertu de cette priorité absolue, il mettra de l’avant des mesures audacieuses pour que notre système d’éducation devienne l’un des meilleurs au monde d’ici 2020. Il valorisera l’éducation auprès du grand public pour en refaire une priorité d’État comme c’était le cas au début des années 60. Ce mouvement de fond aura certes des retombées importantes sur l’intérêt des jeunes à l’égard des études. Le rehaussement de l’éducation primaire et secondaire, par les différentes mesures touchant les enseignants, vise d’ailleurs non seulement à mieux « former » les jeunes, mais aussi à mieux les « allumer » par des enseignants eux-mêmes plus compétents et allumés…

                                                   ******************************

Réponse de Colombe Landry de QS :
Côté santé :
Mon expérience personnelle et professionnelle comme intervenante sociale dans le réseau de la santé et des services sociaux me permet de me positionner en connaissance de cause dans les propositions de fusion. Je suis tout à fait contre l’idée tout simplement parce qu’encore une fois trop d’énergies seront mises pendant une bonne période de temps dans les structures au détriment nécessairement du travail auprès de la population. Les fusions amènent insécurité auprès du personnel et confusion dans la population. De plus grosses structures entraînent une hiérarchisation plus grande : donc plus de cadres et des coûts financiers haussiers, des difficultés grandissantes au niveau de la communication et de l’organisation et, conséquemment, une bureaucratie plus importante qui accompagne tous ces changements. Instabilité garantie!

Côté éducation :
Différents facteurs sont reliés au décrochage scolaire : la pauvreté, le lien école-famille déficient ou conflictuel, le manque de services aux élèves en difficultés d’apprentissages, les conflits familiaux, l’attrait d’un salaire rapide, le manque d’espoir d’améliorer son sort en étudiant, les conflits entre élèves, un manque de reconnaissance vécu par le jeune, le manque de lien entre le jeune et les adultes de l’école, une société au discours contradictoire (porté par les élus et décideurs) face aux valeurs véhiculées et des programmes d’enrichissement offerts seulement à ceux qui réussissent le mieux alors que les élèves en difficulté ont besoin également de stimulation au-delà des cours traditionnels.
Pour y pallier : en finir avec la pauvreté, une école gratuite, des classes moins nombreuses, des services d’aides aux élèves plus nombreux, des programmes sportifs, culturels ou autres offerts à l’ensemble des élèves et une place plus importante aux parents dans l’école.

                                                *****************************

Réponse de Karine Vallières du PLQ :

Santé
Au début de la présente année, les conseils d’administration des CSSS du Haut St-François et des Sources ont entamé un processus de regroupement administratif de leurs organisations.  L’Agence de santé et des services sociaux de l’Estrie suit de très près l’évolution du dossier.

Ces deux entités étant gérées par des conseils d’administration dûment élus, je respecterai ce processus démocratique en étant entièrement confiante que les meilleures décisions seront prises pour le bien-être des clientèles desservies.

Éducation
Bonifier l'aide aux devoirs dans l'objectif de mieux outiller les parents;

Offrir plus de flexibilité aux parents qui utilisent les services offerts en milieu scolaire; créer un service d'aide à la préparation aux examens

Offrir aux parents, pour chacun des enfants inscrits à l'école primaire publique, un soutien financier direct de 100 $ non imposable dès 2013 afin de les accompagner dans l'achat de matériel scolaire à la rentrée des classes;

Voilà autant de mesures qui aideront à prévenir le décrochage scolaire.

Je tiens à mentionner que le gouvernement de monsieur Jean Charest a soutenu par sa Stratégie jeunesse le P'tit bonheur de St-Camille et son projet Inode Estrie pour la rétention des jeunes en Estrie. Ce projet est également appuyé par le Fonds régional d'investissement jeunesse-Estrie ainsi que par la Conférence des élus de l'Estrie. 

Un premier volet vise la mise en relation entre les répondants locaux associés à la stratégie (agents de migration Place aux jeunes, conseillers des Carrefours jeunesse-emploi…) et les jeunes Estriens avec l’objectif de faire connaître à ces derniers les opportunités de stages, d'emplois et le cadre de vie offerts dans la région.

Un second volet met à la disposition des municipalités de l’Estrie un service d’accompagnement spécialisé en vue de la réalisation d’actions pour favoriser l’accueil et l’établissement de nouveaux résidents sur leur territoire.

                                             *************************************
Question 5- Développement durable : La MRC des Sources est actuellement en démarche pour se doter d’un Agenda 21 local. Comment le développement durable s’intègre dans vos actions politiques et comment entendez-vous supporter les différentes planifications locales, tel qu’un Agenda 21 local ?

Réponse de Colombe Landry de QS :
Quand on parle de développement durable, il faut toujours intégrer les aspects social, économique et environnemental selon la définition de Madame Bruntland. C’est la seule façon de développer une industrie, une communauté sur des bases solides et viables. La transition d’une agriculture traditionnelle à une agriculture plus écologique de proximité est un exemple concret.
L’exploitation de ressources naturelles avec l’accord des communautés,  en respect du territoire, en protégeant l’air, l’eau est une condition essentielle pour Québec solidaire Richmond. Développer à cout terme pour viser uniquement le profit immédiat est à proscrire; les politiques néo-libérales nous montrent jour après jour leurs limites et leur manque de rationalité et ce dans le monde entier.
Votre Agenda 21 s’inscrit tout à fait dans les orientations de Québec solidaire Richmond que j’ai essayé de décrire ici à travers vos questions.


Pour comparer les programmes des différents partis, je vous propose ce lien que vous connaissez peut-être déjà :

http://elections.ledevoir.com/elections-quebec-2012#education


                                              *****************************

Réponse d'Étienne Alexis-Boucher du PQ :
Les objectifs du Parti Québécois sont clairs. Une politique de développement durable cohérente et contraignante doit s'appliquer à l’ensemble de l’action de l’État. Cette politique reposera sur quatre piliers : un plan de lutte aux changements climatiques; l’indépendance énergétique; les transports durables; et une politique rigoureuse de protection de l’environnement;

Dans l’octroi des subventions, le principe d’écoconditionnalité doit s'appliquer progressivement, c’est-à-dire que les compagnies qui transgressent les normes environnementales ne pourront pas obtenir d’aide financière de l’État.

Quant à l'exploitation des ressources naturelles doit se faire en harmonie avec les communautés locales. C'est pourquoi, un gouvernement du Parti Québécois souhaite que la loi sur les mines tienne compte de la volonté des élus municipaux et que les développements miniers se fassent en respect des schémas d'aménagement du territoire.

Le Parti Québécois modernisera la Loi sur les mines en éliminant la préséance minière sur la Loi sur l’aménagement et l’urbanisme, la Loi sur la qualité de l’environnement et la Loi sur le développement durable, en adoptant un mécanisme souple d’harmonisation des usages du territoire et en abolissant le pouvoir d’expropriation actuellement dévolu aux détenteurs de droits d’exploration minière. La modernisation de la Loi sur les mines devra assurer le respect de l’environnement, des Premières Nations et de la capacité d’agir des autorités locales et régionales selon l’ensemble des intérêts de leur communauté.

De plus, le mandat du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement sera élargi pour en faire un Bureau d’audiences publiques sur le développement durable afin d’analyser l’impact global de tout projet majeur.

Au niveau local, il est primordial de développer davantage les créneaux d’excellence. L'Estrie, grâce à son créneau d'excellence en Bio-industries environnementales, est un véritable leader modial dans les technologies vertes. Le Parti Québécois souhaite renforcer ce créneau dans la région et la MRC des Sources doit en tirer profit.

Quant au transport collectif en milieu rural, il faut favoriser la mise sur pied d’une offre de services mixtes intégrant le transport scolaire, le transport adapté, le transport public, le taxi et le covoiturage. Les actions entreprises depuis 2006 dans la MRC en matière de transport collectif doivent se poursuivre et le Parti Québécois y contribuera.

La création d'une Société québécoise des eaux (SQE) qui reconstituera l’expertise publique en matière de gestion de l’eau est primordial pour préserver cette ressource. Cette expertise est nécessaire pour faire baisser les coûts d’investissement dans les infrastructures liées à l’eau. La SQE sera un centre d’expertise qui pourra être utilisé par les municipalités et les agriculteurs qui le désirent.
ñ Ses principaux mandats seront :
ñ 1. de conseiller les municipalités en matière de gestion de l’eau;
ñ 2. d’agir à titre de mandataire pour la gestion des contrats de construction ou de rénovation d’usines d’eau potable et usée, d’aqueducs, d’égouts et autres;
ñ 3. de conseiller les municipalités pour l’installation de compteurs d’eau CII (commerciaux, industriels, institutionnels);
ñ 4. de conseiller les agriculteurs au niveau des technologies liées à la protection de l’eau;
    5. de mettre en place un programme d’assainissement agricole;

                                                ******************************

Réponse de Marie-Soleil Perron :  
C’est certain que je serai partie prenante et que je participerai à la démarche de la mise sur pied d’un Agenda 21 local. Je suis consciente aussi qu’un Agenda 21 doit constamment évoluer pour assurer son efficacité et qu’une évaluation continue des actions réalisées doit être mise en place.

Encore une fois, la Coalition Avenir Québec a pris une série d’engagements fermes en matière de développement véritablement durable. Par exemple, elle mise sur le développement des sciences de l’environnement, les technologies vertes, l’efficacité énergétique, les sources d’énergie renouvelables et le déploiement de modes de transport plus économiques et moins polluants. Je vous invite à consulter de nouveau la plateforme de la Coalition aux pages 83 à 94.

Conclusion de Marie-Soleil :
En somme, je considère déterminant l’apport du communautaire dans le développement social, économique et culturel de la MRC des Sources et de l’ensemble du comté de Richmond. C’est un levier puissant pour réaliser les objectifs de nos communautés dans le respect de l’environnement.

Je viens parmi les gens pour aider les gens. Ce n’est pas la députée qui va changer les choses toute seule, c’est nous tous ensemble avec détermination et persévérance. J’accorde un grand rôle à ceux et celles qui se prennent en charge pour améliorer leur situation. J’entends donc encourager fortement les initiatives coopératives, associatives et communautaires.

                                          **********************************

Réponse de Karine Vallières du PLQ :
Le gouvernement du Parti libéral du Québec a fait de l'environnement et du développement durable une de ses priorités notamment par l'adoption des mesures suivantes :
                    la stratégie énergétique du Québec 2006-2015;
                    le Plan d'action 2013-2020 sur les changements climatiques (2.7 G$);
                    le Plan d'action 2011-2020 sur les véhicules électriques;
                    l'adoption du Règlement concernant le système de plafonnement et d'échange de droits d'émission de gaz à effet de serre;
                    la modification du Code de construction par l'adoption du règlement concernant les exigences de performance énergétique applicables aux nouveaux bâtiments résidentiels

Un gouvernement libéral s'engage à offrir un crédit d'impôt remboursable pour la rénovation verte qui vise à encourager la rénovation des résidences principales dans le but d'en améliorer l'efficacité énergétique.  Le crédit d'impôt correspondrait à 20% des dépenses admissibles supérieures à 1000 $ pour des travaux reconnus de rénovation verte.  Il sera mis en place dès la réélection d'un gouvernement libéral.

La valeur maximale du crédit d'impôt serait de 3 000 $.

En plus de favoriser la croissance économique du Québec, ce programme permettra d'encourager les rénovations ayant un impact positif sur l'environnement et améliorera le bilan énergétique de 35 000 résidences.

Voilà en quelques lignes ce que notre gouvernement a déjà réalisé et ce à quoi nous nous engageons dès notre réélection le 4 septembre prochain.

Je vous réitère l'assurance de mon écoute, de ma disponibilité et de mon soutien dans vos projets.


                                         ***********************************

BON VOTE !